
Il y a un peu plus d’un mois déjà, le gouvernement nouveau de la 5è République poursuit son lot de réformes nécessaires et surtout d’adaptation aux problématiques essentielles de la société gabonaise.
Tout comme pendant la Transition, les membres du gouvernement n’ont pas laissé place à l’insignifiante métaphore du » on va encore faire comment « ; beaucoup ont montré avec objectivité que l’Etat est à la fois continuité, adaptation et résolution.
Dans ce sens, nous considérons par exemple les acquis du ministère de la communication, aujourd’hui sous la nette vigilance du Ministre Paul Marie Gondjout. Avec l’acuité d’un juriste parfaitement menée à son précédent poste, il sera toujours tenace, appelé à réorienter les oeuvres de son prédécesseur, la Ministre Laurence Ndong, qui n’a eu de cesse à promouvoir l’élan communicationnel dans les milieux intégrés au Gabon. Elle y a mené la vision que le communicateur peut et doit célébrer sa dignité par son professionnalisme reconnu. L’aboutissement d’un dossier délicat sur les subventions en est un exemple. Puissions-nous être reconnaissants pour ces tâches exaltées; à tous, nous disons merci.
Quoiqu’il y ait des prouesses qu’il ne faut pas dire, il n’en demeure pas moins que le gouvernement de la 5è République affine les politiques d’ensemble sur les instructions du Président. Or, celui que le peuple a choisi aime le peuple ; il l’aime pour la conscience retrouvée, il l’aime pour son développement, sa modernisation, sa quête de perfection et pour son rendement meilleur. Ceux choisis pour l’accompagner ne sont pas en reste, ils ont sa confiance au même titre que celle du peuple. C’est donc une pédagogie par évolution que nous devons assimiler, pour notre Nation en marche, au large, entre les mécanismes de la démocratie.
La Rédaction.