De la générosité publique: «L’espoir est permis, le rêve peut se réaliser»

Les populations de l’Estuaire, en commençant par le Grand Libreville, tout comme les peuples du Gabon dans leur majorité, semblent reconnaître d’avoir été longtemps maintenues dans la pénibilité inouïe, à cause des sectarismes politiques préconisés les gouvernants jusqu’au soir du 30 août 2023. Réfractaires à une telle pénibilité, La conséquence aura été «le coup de libération» par le CTRI, tels des mousquetaires, en tête desquels le Général de Brigade Brice Clotaire Oligui Nguema, ont marqué le peuple de leur adresse, sans effusion de sang. Une vision globale se dégage à cela: la générosité publique. En quoi consiste-t-elle?
Pour ne pas dire philanthropes, on a pu le constater, les poses des premières pierres, la mise effective des villes en chantier le temps de la transition, n’ont fait que prémunir l’avis des citoyens d’une lumière sur le destin du Gabon, quand beaucoup étaient affligés. Et les populations en ont pris conscience, au point qu’elles pensent qu’il faut faire vite pour remédier à la situation d’antan, reconnue comme ayant été un essaim de paupérisation des citoyens lambda.
La générosité publique, devenue un signal fort entre les compétences réunies des autorités de la Transition, permet à ce jour d’évaluer les acquis du CTRI. Tandis que la reconnaissance abonde, rien n’entrave la volonté des acteurs qui ont cet objectif par nécessité, à savoir: rendre la dignité au Gabon et aux Gabonais. A cela s’ajoute le relèvement des valeurs, tant spirituelles que culturelles, à l’exemple de la dynamique insufflée par les dignitaires dans chaque Province du pays, tout comme la concession de la primauté morale à la compétence religieuse. Puisse cette option de la symbiose entre l’Etat et la Religion be well reflected in the new constitution!
La générosité publique, telle une réparation des afflictions coutumières des populations, n’est qu’une réponse aux crises multiples: politiques, économiques et sociales, qui ont entaché la gouvernance sous l’ancien régime.
Depuis un an, l’élan de solidarité se manifeste devant l’effort constant du CTRI à mettre en lumière des secteurs d’industries, des projets ambitieux de lutte contre le chômage, des réalisations notables en matière d’infrastructures, somme toute, l’on note des avancées très significatives en matière de transformation et de progrès du pays. C’est tout à l’avantage des gabonais.
Dans la générosité publique, le mérite d’un paysage économique favorable, les compétences de développement durable, l’engagement continu du Président de la République, le renforcement de la stratégie de réussite, avec la réalisation des objectifs de développement à long terme, nous donnent de sortir de l’indolence et de la torpeur du rêve… Et le rêve devint réalité!
A l’an un du CTRI, il est une grâce de voir les gabonais marcher la main dans la main, «unis dans la concorde et la fraternité», pour qu’enfin «l’essor vers la félicité» ne soit plus un slogan, mais un processus du vivre-ensemble.

Par DEA

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