Objectif primordial: rassurer le peuple sur le bien-être quotidien.

Cette rencontre de mi-septembre n’a pas cessé de faire parler d’elle. Le Président de la République, Chef de l’Etat, Le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, le 16 septembre dernier, recevait dans les locaux de la Présidence, une forte délégation des responsables et administratifs de la Société d’Energie et d’Eau du Gabon (SEEG), en présence notamment du CTRI, du Premier Ministre et son gouvernement ainsi que le quorum des syndicats de ce secteur entrepreneurial.
C’est face aux nombreuses difficultés qu’éprouvent les populations à Libreville tout comme dans l’arrière pays, à savoir une situation exaspérée sur la crise d’énergie, due aux conditions de plus en plus aléatoires voire délétères en matière de fourniture d’électricité et d’eau par la SEEG, que les plus hautes autorités de l’Etat ont convoqué cette réunion de conscientisation, en vue d’optimiser la gestion de cette activité sur toute l’étendue du territoire et dans les délais plausibles. En effet, l’eau et l’électricité procèdent du bien-être social parce que vitales, inhérentes et anthropocentriques. Il n’est nul besoin de pourfendre le contraire, «l’eau est symbole de vie», signe perpétuel de la grâce que Dieu donne à l’ensemble de la création (Gn 2,5ss).
Tout part de la triste réalité que la Société d’eau et d’énergie du Gabon ne parvient plus à satisfaire à la demande des clients. Malgré les mises en garde, les consommateurs semblent voués au strict minimum et cela exaspère, tant les petits clients et leurs économies palpent l’inachevé. Le plus rassurant est que les mots du Chef de l’Etat ont placé la solution au cœur du problème, une résolution habile qui redonne espoir et qui véhicule un brin d’humanité. Fort heureusement, les résolutions prises ont suscité un réveil et de la motivation, car depuis ces derniers jours, le temps imparti aux délestages est passé de plus de – heures à moins de ‘ heures de jour ou de nuit dans les quartiers de la capitales gabonaise. C’est dire ô combien le calendrier soumis par les nouvelles autorités de la SEEG laisse le pressentiment d’une dynamique réelle pour remédier à la situation catastrophique de l’énergie et d’eau au Gabon.

Par DEA

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