
C’est la commémoration d’un épisode du christianisme : le massacre des enfants de moins de deux ans nés à Bethléem (Judée), ordonné par le roi Hérode Ier le Grand afin de se défaire du nouveau-né Jésus de Nazareth qu’il considérait comme un potentiel rival. Au Gabon, la conférence des évêques en célébrant cette journée prie pour les victimes des crimes de sang ou crimes rituels.