Invitation à la pratique du droit et de la justice.

Le Pape François de regretté mémoire recevant en visite ad limina apostolorum les évêques du gabon les invita » à élever la voix lorsque la dignité de l’homme est bafouée ».

Suivons une leçon en fac de droit donné par professeur de Droit qui initia son courd en posant une simple question à un Étudiant :
Quel est ton nom ?

L’étudiant répondit, mais à peine eut-il prononcé son nom que le professeur, sans raison apparente, le chassa brusquement de l’amphithéâtre.
Surpris, le jeune homme tenta de protester, mais le professeur, implacable, le réduisit au silence et l’expulsa sous les regards abasourdis de ses camarades, qui restèrent figés, silencieux.

Le professeur reprit alors son cours et demanda à ses élèves :
— Pourquoi les lois existent-elles ?

Une étudiante leva la main :
— Pour recadrer les comportements.

Un autre ajouta :
— Pour être appliquées.

Un troisième répondit :
— Pour empêcher le fort d’opprimer le faible.

Le professeur hocha la tête, mais son regard restait insatisfait.

Puis, une voix s’éleva, hésitante mais ferme :
— Pour que la justice règne.

Le professeur sourit :
— Oui, voilà la véritable raison : faire triompher la justice.

Il poursuivit :
— Et quel est le but de la justice ?

Un étudiant déclara :
— Préserver les droits et empêcher l’injustice.

Alors, le professeur se redressa et s’adressa à toute la salle :
— Maintenant, dites-moi sans crainte : ai-je été injuste en expulsant votre camarade ?

Un murmure parcourut l’assemblée, puis, d’une seule voix, les étudiants répondirent :
— Oui !

Le professeur, d’un ton soudain sévère, s’écria :
— Alors, pourquoi êtes-vous restés silencieux ?
— À quoi servent les lois si personne n’a le courage de les défendre ?

Un silence pesant s’abattit sur la salle.

Le professeur reprit, sa voix plus basse, plus grave :
— Si vous vous taisez face à l’injustice, si vous laissez le mal s’installer sans réagir, alors vous trahissez non seulement la loi, mais aussi votre propre humanité. Et l’humanité, mes chers étudiants, n’est pas négociable.

Puis, il se tourna vers la porte, fit revenir l’étudiant expulsé et, devant toute la classe, lui présenta ses excuses.

— Voilà votre leçon d’aujourd’hui. Et que cette leçon ne reste pas un simple souvenir, mais un engagement que vous porterez en vous tant que vous vivrez.

Bonne méditation à vous lecteur du journal le chemin et que Dieu nous aide à pratiquer la justice et non l’injustice.

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